Car en effet, le premier assembleur constructeur français ne saurait se laisser périr comme une bouse soumise aux aigreurs contraires de la globalisation.
Halte à la médiocrité, disons-nous souvent, tournons-nous donc vers le neuf, l'inattendu, le high-tech (si l'on me passe cet anglicisme), le moderne, le beau aussi admettons-le, bref, Peugeot-Citroën se doit de relancer
le Minitel.
On pourrait l'appeler le 3615008, ce serait bien. Ou alors C12,3. Mais je laisse les équipes marketing en décider. À chacun son travail.
Une bonne journée.
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